Chanteuse de jazz
Pédagogue
Vu dans la presse !
QuefaireParis : "Digne héritière de Mimi Perrin et des Double Six, elle nous offre dans ce répertoire des improvisations irisées aux scats limpides, naturels, et une invention mélodique qui touche au cœur…".
À propos de "Jardin après la pluie"
Jazzman : « L'énergie bouillonnante de Laurence Saltiel en fait avant tout une chanteuse de scène dont on attendait impatiemment le nouvel album. Entre jazz et chansons, swing et bossa, Laurence Saltiel nous montre tout son talent. Artiste inclassable, elle sait tout interpréter… En ces temps de chanteuses clones, la soprano d'Octovoice ne cherche pas à imiter mais se chante elle-même, avec ses sentiments. Pour un moment de bonheur simple ». /mai 2005
Télérama : On aime beaucoup : « La voix a de la fraîcheur, qu’elle sait insuffler à quelques standards choisis avec goût. Elle est aussi capable d’une pointe de cruauté amusée, qui pique opportunément les chansons en français troussées pour elle. Surtout, même lorsqu’elle interprète ces textes qu’elle a elle-même mis en musique, Laurence Saltiel ne se montre jamais gouailleuse et affiche en tout une aimable distinction. » Louis-Julien Nicolaou
FEMME ACTUELLE
"Une chanteuse de jazz féministe rend hommage aux femmes de tous âges en leur offrant une chanson dont le thème récurrent est …le sang ! Audacieux et réussi. » / 30/04/2018 Cecile Abdesselam
Les Chroniques de Hiko : « Un recueil de 8 compositions élégantes aux ambiances envoûtantes, mêlant habilement jazz et chanson…. le trio élabore une musique radieuse dotée d’un swing accrocheur, que la voix cristalline de Laurence survole avec grâce et maîtrise..» 09/05/2018
Jazzhot :
"Laurence Saltiel chante simplement aussi bien en français qu'en anglais, sans effets parasites, juste les mots, avec une voix de charme, un phrasé souple, une égale expression sur une tessiture étendue, des graves et des médiums puissants,des aigus doux, avec parfois l'agilité d'une
Mimi Perrin, comme sur "L'homme Lustucru". Des scats limpides, naturels, une invention mélodique qui touche au coeur. Bref, peut-être la meilleure et en tout cas la plus complète, des chanteuses actuelles. … A noter encore une mise en place exemplaire au service
d'un swing omniprésent. Se laisser prendre au charme, et réécouter souvent." /septembre 2005, à propos de l'album Tomara
JAZZMAG : (à propos de l'album Moondance)
« Un disque à connotation très française… où la voix claire de Laurence Saltiel baigne dans une atmosphère intimiste. » Philippe Vincent
Les DJN over-blog :
« Laurence Saltiel est rare. Trop rare. Et, par là même nous est précieuse.Il y a déjà une petite dizaine d’année, elle publiait un album dans lequel il était beaucoup question de Bill Evans. Nous entendions alors ses versions de Waltz for Debby ou de My Romance comme jamais nous ne les avions entendu chantées.Mais depuis ce temps, Laurence Saltiel, très engagée dans la pédagogie à laquelle elle se consacrait corps et âme, avait un peu disparue. Elle revient aujourd’hui en affirmant haut et fort qu’elle est avant tout une grande chanteuse.»
« Laurence Saltiel chante comme un remède à la mélancolie, comme une façon de dire que toujours la vie, même lorsqu’elle peut nous faire violence, même lorsqu’elle se défend à coup de poings, est belle…».
Jean-Marc Gélin à propos de l'album "Jardin après la pluie"
Latins de Jazz :
A l’écoute des huit titres de « Jardin après la pluie » il apparaît que la force et la sensibilité de l’art de Laurence Saltiel repose sur l’équilibre précieux qu’elle fait régner entre musique, texte et chant. Le swing parcourt le disque d’un bout à l’autre, la poésie manie l’humour ou la tendresse pour évoquer la fuite du temps et les tourments de la vie sans jamais sombrer dans la tristesse. Cristalline et précise la voix révèle les textes et déroule des scats irisés de lumière et de délicatesse. La souplesse préside à l’expression … et la sérénité advient./27 juin 2018, Nicole Videmann